Une chose essentielle a changé dans ma gestion de mes desseins littéraires 2010.
Essentielle et inattendue.
Inattendue et essentielle.
Je me répète parce que c'est essentiel... et inattendu.
L'un des ennemis de ma sérénité, c'était le dé.
Le dé...
Vous savez, celui qui a 17 faces... ou 14... ou plutôt 6, mais qu'on peut tirer plusieurs fois...
Cela fait un an tout juste que je le jette deux fois tous les matins pour savoir ce que je vais écrire durant toute la journée. 700 jets et pas une protestation intérieure...
Or, depuis dix jours, j'en ai assez. J'ai besoin de me mettre en roue libre. Il est même probable que j'écrive plus et mieux de la façon :)
Aussi, à partir d'avant-hier et jusqu'à nouvel ordre, je choisirai tout seul mes écrits quotidiens.
C'est comme ça, ne soyez pas triste ; je ne le suis pas, moi.
Soyez heureux et achetez des livres ;)
Ô comme je me sens toute petite, moi qui ne peut écrire plus de trois textes en même temps !
RépondreSupprimerEt encore, depuis une semaine je n'écris plus qu'un seul ouvrage... Mais il est essentiel pour moi qu'il avance celui-là !
Je mets à part les contes, que j'écris à l'envi, parce qu'ils font mon métier de conteuse. Là j'en ai toujours plusieurs sur le feu !
Je découvre ton blog et j'apprécie.
A bientôt d'autres commentaires !
Je suis heureuse !!
RépondreSupprimerJe me disais aussi "mais s'il a une idée pour un autre livre que celui du dé il est obligé d'attendre pour écrire..."
Un vent de liberté souffle... tu t'émancipes ? Quelle bonne idée.
Mais tu peux me le dire à moi que c'est un de te co-locataires qui a gobé ton dé, ...pour ton bien.
Porte toi bien ! @+
Si tu es heureux alors je suis heureuse.
RépondreSupprimerÉcris comme il te chante mais écris...
Karo
la voie de l'inspiration est celle que vous venez de choisir à ne époque j'avais parfois plusieurs rôle à préparer par jour
RépondreSupprimeret il y a dans mon esprit tous qui voulait que je sois à lui
alors je faisais de phase de méditation
et je prenais un par la main pendant 7 minutes et après l'autre , 7 minutes, UNE PROMENADE AINSI SE PASSAIT , que votre plume vous soit douce je vous embrasse cher land writter and writter tout grandement becos muchachos muchos
Sof, qu'insinues-tu donc ?!!
RépondreSupprimerNos coloc' sont sages comme des image ;-)) bien lovés sur le(ur) canapé face au Fidèle Godin calorifère !!
Bises à toi et PE
Bonjour, Sophie brodeuse de mots, je suis ravi de votre visite en ces lieux virtuels :))
RépondreSupprimerJ'ai eu l'occasion de lire quelques-uns de vos contes et j'en apprécie beaucoup le ton !
Au plaisir de vous recroiser par ici.
Bonjour Sophie brodeuse de bactéries (??) :)
C'est étrange, je m'étais accommodé de ce lancer de dé parce que mon cerveau s'adaptait parfaitement au résultat... mais en fin de compte ça me fatiguait sans que je m'en aperçoive.
Quant au dé gobé, c'était plausible, mais tu imagines bien que j'en ai plus d'un à la maison !
Karo, je t'envoie de nouveaux gros becs d'ici, avec la promesse de continuer à écrire comme il me chante :))
Chère Frankie Pain, je pratique également une sorte de "promenade" entre deux récits différents, afin que mon cerveau hyperactif respire un peu.
Merci pour vos doux encouragements.
Je vous embrasse.
Comme dit Véro, il ne viendrait pas à l'idée de nos monstr... de nos adorables bestioles de voler quelque objet que ce soit !!
Je ne comprends pas trop quelle fonction avait le dé, mais je suis heureuse que vous vous sentiez libre, avec cette nouvelle liberté allez vous jouer au DÉmineur ? lol
RépondreSupprimerEt voilà, même les dés se retrouvent au chômage de nos jours... :)
RépondreSupprimerJ'adore ! Vive la révolte envers les dés pour une liberté retrouvée ! Youhou
Chère Eléonore, je lançais le dé deux fois pour savoir chaque jour sur quels récits j'allais travailler (selon un savant calcul qu'il serait fastidieux de détailler ici).
RépondreSupprimerPour le démineur, j'y ai trop joué quand j'ai découvert les PC :)))
Hello Véro ! Très heureux de te rencontrer ici !! Au moins le dé aura rejoint ses amis dés dans la boîte à dés. Il ne chômera pas tout seul...
Bisous !
sébastien